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L’école MedTech de la SMU rejoint un groupe d’élite d’écoles d’ingénieurs prestigieuses dans le monde

La South Mediterranean University (SMU), premier pôle universitaire anglophone en Tunisie offrant des programmes internationalement accrédités, annonce que son école d’ingénieurs MedTech vient d’obtenir la prestigieuse accréditation internationale ABET.

L’accréditation ABET garantit que les programmes répondent aux standards internationaux pour former des diplômés prêts à réussir dans des domaines techniques qui ouvrent la voie à l’innovation et aux technologies émergentes.

« Pour MedTech, le label ABET marque non seulement une étape importante dans notre cheminement vers l’excellence académique en Afrique et dans la région méditerranéenne, mais il nous accorde également une responsabilité encore plus grande pour améliorer continuellement nos processus, pratiques et programmes académiques » a déclaré le Professeur Mahmoud Triki, Président-Fondateur de l’université, lors d’une cérémonie officielle marquée par la présence notamment de hauts représentants des ambassades des États-Unis et d’Afrique du Sud en Tunisie ainsi que de nombreux autres partenaires nationaux et internationaux.

« Elle s’ajoute aux autres accréditations que nous avons déjà obtenues par le passé et nous apporte beaucoup de fierté pour ce qu’elles procurent à nos étudiants comme perspectives pour leur avenir » a encore souligné le Pr. Triki.

MedTech est la première école d’ingénieurs en Tunisie à décrocher ce prestigieux label décerné par l’organisme nord-américain ABET qui, après une évaluation approfondie, est reconnue pour la qualité des programmes dispensés au sein de l’université. L’établissement a été accrédité par la commission d’accréditation des ingénieurs d’ABET, l’accréditeur mondial des programmes collégiaux et universitaires en sciences appliquées et naturelles, en informatique, en ingénierie et en technologie de l’ingénierie. MedTech rejoint ainsi un groupe d’élite d’écoles d’ingénieurs prestigieuses dans le monde.

Hichem Kallel, doyen de MedTech, a pour, sa part, souligné qu’il s’agit de la première université en Tunisie à obtenir cette accréditation. Il a par ailleurs précisé son effet rétroactif à l’année 2018. « Nos étudiants ayant entamé leur cursus en 2018 auront également un diplôme accrédité » a-t-il déclaré.

ABET est une organisation non gouvernementale américaine à but non lucratif certifiée ISO 9001:2015 créée en 1932 qui agit sous forme de fédération comptant 35 sociétés membres professionnelles.  Elle a accrédité 4 005 programmes dans plus de 793 collèges et universités dans 32 pays.

Développés par des professionnels techniques des sociétés membres d’ABET, les critères ABET se concentrent sur ce que les étudiants vivent et apprennent. Les examens d’accréditation ABET portent sur les programmes d’études, les professeurs, les installations et le soutien institutionnel et sont menés par des équipes de professionnels hautement qualifiés de l’industrie, du milieu universitaire et du gouvernement, ayant une expertise dans les disciplines ABET.

La SMU et son chemin vers l’excellence

Rappelons sur un autre plan que, la MSB, école de commerce de la SMU, vient de se faire renouveler son accréditation AMBA pour ses programmes de master en gestion des affaires (Master’s in Business Management MBM) que seules 2% des écoles de business dans le monde détiennent, ainsi que son programme de master exécutif en administration des affaires (Executive Master’s in Business Administration EMBA) en Tunisie et parmi les rares sur le Continent.

Le programme de Licence de MSB est quant à lui est accrédité par l’EFMD (European Foundation for Management Development), confirmant sa position au sein d’un groupe d’élite restreint de Business Schools dans le monde.

Etablie sur des indicateurs de performances strictes, l’attribution de l’accréditation de la MSB par l’EFMD et l’AMBA est le résultat d’une évaluation poussée réalisée sur la base de documentations et de rapports. Elle résulte également de réunions organisées avec des membres du personnel, de professeurs, d’étudiants, d’anciens élèves, d’employeurs et de diplômés de la MSB.

Par ailleurs, la SMU est également membre affilié du CFA Institute (Chartered Financial Analyst), organisation professionnelle mondiale à but non lucratif qui offre aux professionnels de l’investissement une formation en finance. L’institut vise à promouvoir les normes d’éthique, d’éducation et d’excellence professionnelle dans l’industrie mondiale des services d’investissement. Les programmes de Finance au niveau des classes de Licence (UPM) et Master (MBM) au sein de la MSB sont les seconds programmes en Afrique du Nord à être reconnus comme incorporant au moins 70% du contenu du programme du CFA. Cela permet aux étudiants inscrits pour le concours du CFA de se préparer aux examens en cohérence avec ces programmes.

Il est à souligner que tous les programmes de la SMU sont approuvés et validés par le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Tunisien.

 A propos de la South Mediterranean University (SMU)

Fondée en 2002, La South Mediterranean University (SMU) est le premier pôle universitaire anglophone en Tunisie. Elle est installée aux Berges du Lac 2 à Tunis. Son école (MSB) offre des programmes de Licence, de Masters et d’Executive MBA ainsi que des séminaires de courte durée couvrant les différentes fonctions de l’entreprise en anglais, en français et également en arabe. La SMU dispose également d’une école d’ingénieurs, le Mediterranean Institute of Technology (MedTech) et d’un centre de cultures et de langues (Language and Culture Institute – LCI).

Depuis sa création, la SMU s’est incontestablement imposée comme l’une des vitrines du savoir-faire éducatif tunisien, reposant sur une qualité de formation devenue une référence académique dans le bassin méditerranéen et en Afrique, attirant des étudiants d’une quarantaine de nationalités différentes et s’appuyant sur un cadre enseignant hautement qualifié et titulaire de doctorats d’universités nord-américaines et européennes.

En savoir plus sur l’accréditation ABET

Plus d’informations sur ABET, ses sociétés membres et les critères d’accréditation utilisés pour évaluer les programmes peuvent être trouvés sur www.abet.org

Quelques exemples de retombées presse:

Reportage de la radio Mosaïque FM

Reportage vidéo du site Businessnews

Compte-rendu du site Tuniscope

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ATL Leasing : une augmentation du résultat net de 70 % au 30/06/2022

A la suite de la tenue de son conseil d’administration, et la validation de ses états financiers audités au 30/06/2022, l’ATL annonce des indicateurs en nette évolution.

En effet, au terme du premier semestre 2022, l’ATL a vu ses mises en forces passées de 131 millions de dinars au 30/06/2021 à 141 millions de dinars, soit une évolution de 8%.

L’ATL a vu aussi son PNL (Produit Net Leasing) augmenter de 23% pour atteindre les 21.5 millions de dinars, contre de 17.5 millions de dinars une année auparavant, le résultat d’exploitation passe de 5.6 millions de dinars à 8.9 millions de dinars, soit une évolution de 57%, et un résultat net de 5.5 millions de dinars, en évolution de 70% par rapport l’an dernier.

Ces résultats confirment la bonne gouvernance et la bonne notoriété de l’ATL dans le secteur, en phase avec le Business Plan annoncé précédemment, ce qui promet de bons résultats au 31/12/2022.

Conformément aux orientations du conseil national de le comptabilité CNC, l’ATL continue à avancer activement pour arriver à publier ses états financiers consolidés conformes aux normes IFRS à partir de l’exercice qui sera ouvert le 01/01/2023.

Dans ce cadre, il est à rappeler que les phases finalisées concernent la fixation des choix, la simulation des impacts et l’élaboration d’un plan de mise en œuvre du projet. Aujourd’hui, les retraitements des données de 2021 en norme IFRS ont été finalisées et font ressortir un impact positif modéré.

En parallèle, l’ATL a démarré une mission de revue de son système de notation interne afin de l’adapter aux exigences de la norme IFRS 9.

La presse en parle:

Site Tustex

Site IlBoursa

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Maia Hotel Suites ouvre ses portes aux Berges du Lac à Tunis

Un nouvel établissement ouvre ses portes le 23 mai 2022 et vient renforcer la capacité hôtelière de la zone des Berges du Lac 1 à Tunis.

Maia Hotel Suites est un appart-hôtel de catégorie supérieure se situant sur l’axe stratégique de la GP 9 (autoroute Tunis-La Marsa) à 15 min de l’aéroport Tunis-Carthage dans un quartier commercial et d’affaires particulièrement vivant avec des magasins, restaurants, salons de thé, parc d’attraction, etc.

Son nom s’inspire de l’une des Pléiades dans la mythologie grecque et également d’un astéroïde. « Maia est un nom plein de générosité et de douceur, synonyme également de réussite dans tout ce qui est entrepris » explique Mme Chiraz Chebil, gérante du projet.

Avec une capacité de 31 chambres et suites de différentes tailles et toutes décorées dans un style moderne avec une touche proprement tunisienne, Maia se présente comme un hôtel à taille humaine avec un service attentionné et personnalisé.

Plusieurs catégories de chambres sont proposées permettant des logements individuels, à deux ou en famille, notamment grâce aux 12 suites de types Junior, Executive ou Premium. Toutes sont équipées des commodités d’usage, à commencer par une kitchenette dotée d’une plaque de cuisson, d’une hotte aspirante, d’un four à micro-ondes et d’un mini-bar. Ceci en plus de la TV satellite et du wifi gratuit.

Maia Hotel Suites dispose également de deux salles de réunion pouvant accueillir jusqu’à 40 personnes. Elles ont, elles aussi, adopté des noms d’étoiles : Atlas (50m²) et Electra (35m²). En plus du parking extérieur, le sous-sol de l’hôtel peut accueillir une douzaine de véhicules.

« Notre emplacement stratégique dans l’un des quartiers d’affaires les plus modernes et les plus dynamiques implique des besoins en termes de réunion de petites tailles et nous mettrons à la disposition de ceux qui le souhaitent des salles totalement équipées avec les prestations adéquates », souligne pour sa part M. Khaled Karoui, directeur général de l’hôtel.

L’établissement fonctionnera selon la formule de logement et petit-déjeuner (bed & breakfast), servi au restaurant d’une capacité de 50 places, aux côtés d’un café-drugstore « The Corner » au 1e étage où a été installée une petite bibliothèque avec des livres mis à la disposition des clients.

L’hôtel propose par ailleurs un ensemble de services complémentaires à la demande tels les transferts, les excursions, le change à la réception, la location de voitures et de vélos, le baby sitting…

La presse en parle:

Destination Tunisie, premier site d’information touristique

IlBoursa, site d’information économique

L’Economiste Maghrébin, site d’information économique

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Cartographie des risques sectoriels en Tunisie et programme de relance économique

Les banques et établissements de leasing en Tunisie se sont adossés, à travers leur corporation (Association professionnelle des banques et établissements financiers APTBEF), à l’agence de notation financière PBR Rating pour réaliser la première cartographie des risques sectoriels au profit du secteur financier tunisien, dans le cadre de leurs politiques de financement, en adéquation avec les règles prudentielles en la matière.

La présentation officielle par les équipes de PBR Rating a eu lieu le 31 mars 2022 et a principalement porté sur les risques sectoriels et macroéconomique, en dressant les enjeux économiques d’aujourd’hui et de demain, pour l’ensemble des secteurs et sous-secteurs de l’économie nationale (selon la nomenclature BCT). Une action stratégique pour le secteur financier, dans ce contexte de crise et d’incertitude générale, notamment dans ses réflexions, en termes de ciblage des secteurs résilients, pour orienter les opportunités de financement, s’inscrire dans une meilleure rentabilité financière et une plus grande efficacité dans le renforcement des efforts de relance ; et par là-même, s’inscrire en phase avec les réglementations en vigueur issues des autorités de contrôle, quant à l’exposition au risque des grands engagements et des créances non-performantes.

L’étude de PBR Rating a notamment permis de dresser 10 Axes majeurs et prioritaires, à engager pour une sortie de crise, à moyen terme. En effet, la Tunisie traverse une période économique très critique de son histoire. Une instabilité qui a été en grande partie engendrée par un important coût de non-réforme structurelle, depuis plus de 10 ans et accentuée par l’impact de la crise Covid et ses répercussions sur le plan local et international. Les orientations mises en œuvre depuis 2011 et la gouvernance budgétaire en grande difficulté sur les dernières années, sont à la base de la crise économique tunisienne. Le contexte de guerre en Europe va exacerber les difficultés et fragiliser la situation économique tunisienne.

 La confiance : L’économie c’est d’abord la confiance des opérateurs. Sur la dernière période, l’administration est au plus bas de son rendement et le secteur privé demeure dans l’expectative. Des mesures efficaces doivent être rapidement mises en œuvre afin de rétablir la confiance : revue de l’arsenal juridique relatif au cadre opérationnel de la fonction administrative, traitement dynamique des créances des hommes d’affaires, réglementation de change, … Des mesures dont l’objet est de démontrer que l’Etat sera du côté des opérateurs économiques qui opèrent dans le cadre de la loi.

  • La stabilité politique et sociale : La succession des équipes gouvernementales a conduit à une instabilité et à une opacité dans la ligne de gouvernance du pays. Le faible support que les gouvernements successifs ont eu de la part de l’Assemblé des Représentants du Peuple (le parlement), a réduit leurs marges de manœuvre dans la mise en place des grandes réformes stratégiques. L’émiettement et les divergences politiques ont empêché l’émergence d’une force de gouvernance et d’une autre d’opposition, capables d’assurer des cycles stables et structurés de prises de pouvoir. L’instabilité politique, l’affaiblissement de l’Etat central et la dégradation de la situation économique ont favorisé une instabilité et des troubles sociaux, qui ont eu d’importants effets sur la production et la productivité d’un grand nombre de secteurs économiques. Un équilibre dans la gouvernance politique et un apaisement social progressif se doivent d’être mis en œuvre, condition sine qua non de la mise en place des réformes et d’un climat sain des affaires.
  • Le financement de l’économie : Les opérateurs économiques tunisiens financent majoritairement leurs activités via leurs fonds propres, les crédits bancaires et le leasing. Le marché financier ne figure pas encore comme une vraie alternative de financement pour les entreprises. La politique des pouvoirs publics en termes de taux sur la dernière décennie fut principalement celle de la lutte contre le fléau inflationniste. Juguler les causes monétaires de l’inflation a permis d’en limiter la progression (mais pas de la réduire structurellement, car ses principaux facteurs sont d’ordre économique et non monétaire) mais a eu pour conséquence, une hausse très importante du coût de financement (pour l’ensemble des opérateurs économiques tunisiens).

Il est primordial de permettre aux agents économiques, un accès à un financement diversifié et à moindre coût, afin de permettre une consolidation de la demande mais surtout afin de faire repartir le moteur de l’investissement, condition primordiale de la relance et de la croissance. Une politique économique adaptées, se doit d’être menée dans ce sens, en totale complémentarité avec un ensemble de mesures économiques permettant d’éviter le spectre d’un taux d’intérêt réel négatif.

  • La lutte contre l’inflation et l’organisation des circuits de distribution : L’augmentation des prix et l’effritement du pouvoir d’achat et des capacités de financement est un fléau qui menace l’économie tunisienne. Toutefois, l’inflation n’est pas uniquement la conséquence de la déchéance du dinar ou de la politique monétaire. Les circuits de distribution désorganisés et déstructurés depuis 2010, sont également un important facteur de l’équation inflationniste, à travers la multiplication des intervenants, parfois illégaux, dans la chaine de valeur, la corruption et le blanchiment d’argent dans l’intermédiation commerciale oisive. Une situation qui a pris de l’ampleur et qui met à mal la rentabilité et la pérennité des producteurs (notamment agricoles) et le pouvoir d’achat des clients. Les pouvoirs publics se doivent de reprendre les activités de logistique, de distribution en gros et de commerce de détail au système informel, notamment à travers le traçage numérique des biens et des marchandises, la simplification des procédures comptables et administratives des petits commerçants, la réorganisation des marchés de gros, le contrôle des points de vente, …

De plus, la régulation de l’intermédiation commerciale et des circuits de distribution aura un effet drainant pour un important niveau de liquidité, du secteur informel vers le secteur formel, permettant ainsi d’alléger les problématiques de financement.

  • La modernisation de l’appareil administratif : Il s’agit de l’un des axes prioritaires pour la Tunisie. Les effectifs administratifs dépassent de loin les vrais besoins en ressources humaines de l’administration. La réforme de l’administration peut être considérée comme la mère des réformes, puisqu’elle vise à doter l’Etat des outils et des moyens nécessaires pour concrétiser ses stratégies et ses réformes, sur l’ensemble de ses domaines d’intervention.

Un investissement dans la digitalisation, la formation et le redéploiement des effectifs (notamment vers l’administration locale, afin de répondre aux prérogatives instaurées par le nouveau code des collectivités locales tunisiennes) sont primordiaux afin de retrouver un état stratège, organisateur et créateur de valeur.

  • La réhabilitation du secteur agricole : La crise économique actuelle a confirmé que le secteur agricole offre l’un des meilleurs potentiels de croissance en Tunisie. Certaines filières ont montré qu’elles pouvaient fonctionner malgré des conditions difficiles. Les exportations agricoles, qui se résument majoritairement en quatre produits (huile d’olive, dattes, produits de la mer et agrumes) pourraient se diversifier davantage et l’ensemble du secteur est capable d’apporter plus de valeur ajoutée via : la modernisation du cadre réglementaire, le renforcement des mécanismes de financement, la gestion des problématiques foncières, la mise à niveau du système de fixation des prix de vente des produits agricoles, le renforcement des infrastructures d’irrigation et de gestion des ressources hydriques, la protection des semences et des variétés locales et la modernisation de toute la chaîne de valeur, afin de gagner en marge, rentabilité et en qualité de produits, au regard des exigences des marchés étrangers.
  • La mise à niveau du secteur industriel : L’outil industriel dont dispose la Tunisie ne lui permet pas de créer la valeur ajoutée dont elle a besoin. Il s’agit essentiellement d’activités qui génèrent très peu de valeur ajoutée mais qui ont une forte employabilité. Il convient d’investir dans une nouvelle génération d’industrie, intelligente et qui offre de l’emploi à la main d’œuvre qualifiée qui souffre aujourd’hui de chômage. Basé sur des processus automatisés, des équipements interconnectés et des systèmes d’informations intégrés, la Tunisie ne peut passer le cap de l’industrie 4.0 que si elle parvient également à mettre à niveau sa formation professionnelle, son système de financement et son cadre réglementaire.
  • La gestion du commerce extérieur : Le déficit de la balance commerciale est structurel en Tunisie. L’essentiel des importations est constitué de matières de première nécessité et des intrants pour les industries. Toutefois, des importations de produits finis, à l’instar des produits textiles, peuvent être rationalisées afin de permettre la consolidation des industries locales et l’allégement du déficit commercial. Réduire durablement le déséquilibre du commerce extérieur tunisien passe par le renforcement des exportations et donc par la commercialisation de produits à plus forte valeur ajoutée. Une stratégie nationale de promotion des exportations doit être mise en place, afin de soutenir les efforts de mise à niveau, de prospection et de logistique des exportateurs.
  • L’intégration de l’économie souterraine et la mise à niveau du système fiscal : Selon les estimations des autorités tunisiennes, l’économie parallèle représente un important volume de création économique. De ce fait, l’intégration de ces activités représente un important levier de croissance pour le pays, à condition de mettre en place les bases d’une croissance inclusive qui atteigne les zones frontalières, de consolider la lutte contre la corruption et d’ajuster les textes fiscaux, de sorte à maitriser les opportunités d’arbitrage qu’offrent les divergences de coûts et de marges, avec les pays voisins.
  • La gestion des finances et des entreprises publiques : Les entreprises publiques se sont transformées en un fardeau pour le pays et doivent être traitées, au cas par cas, dans le cadre d’une vaste stratégie nationale, où le rôle de l’Etat actionnaire/gestionnaire se doit d’être revu. Leurs équilibres financiers précaires font que peu d’entre elles ont une valeur marchande satisfaisante à court terme, réduisant les opportunités de cession ou même de partenariat. Les pouvoirs publics se doivent de commencer par des restructurations profondes dans un premier pas, accompagnées par de vastes plans sociaux et d’investissements. Le coût estimé d’une telle opération serait de l’ordre de 10 000 MTND selon les autorités, presque 10% du PIB national. L’Etat central pourrait liquider certains actifs et en faire un levier global de collecte de fonds, afin de réinjecter l’ensemble des montants récoltés dans d’autres entreprises publiques, dans le but de pouvoir mettre à niveau et relancer les entités fondamentales du service public tunisien.
  • L’indépendance du mix énergétique : La Tunisie est un importateur net de pétrole et de gaz naturel. La production nationale a atteint son plus bas niveau suite aux conflits sociaux qui continuent à secouer les champs de production. La volatilité des paramètres fiscaux et les procédures administratives n’incitent pas les opérateurs étrangers à investir dans le secteur. Cependant, une exploitation optimale du champs Nawara devrait alléger le fardeau énergétique et financier du pays. Toutefois, d’autres investissements, notamment dans les énergies renouvelables sont nécessaires. La Tunisie a le potentiel d’abriter des stations de production d’électricité à partir de l’énergie solaire pour l’ensemble de la Méditerranée. Néanmoins, cela reste tributaire d’un ensemble de préalables, dont la réforme du cadre réglementaire et procédural du secteur.

Quelques exemples de retombées presse:

L’Economiste Maghrébin (en français)

Réalités (en français)

African Manager (en arabe) 

Assabah News (en arabe) 

Journal Le Quotidien du 19 mars 2022, page 2

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Journal Le Temps du 1er avril 2022, page 5

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Le secteur bancaire et financier va prendre part à la 5ème édition de « FITA 2022 »

Consciente du nécessaire soutien aux opportunités d’investissement qui s’offrent aux entreprises tunisiennes, l’Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers (APTBEF) annonce sa participation active et souligne son engagement dans la 5ème édition de Financing Investment and Trade In Africa « FITA 2022 », organisé par le TABC (Tunisia Africa Business Council), qui se déroulera les 25 et 26 mai 2022 à Tunis.

FITA est devenue un rendez-vous annuel incontournable des acteurs impliqués dans les relations économiques et commerciales tuniso-africaines : ambassadeurs, bailleurs de fonds internationaux et autres intervenants des quatre coins du monde et constitue une occasion de nouer des relations d’affaires et rencontrer des partenaires potentiels pour l’Afrique.

Cette nouvelle édition, qui accueillera près de 3000 participants et s’intéressera aux enjeux post COVID-19, sera l’occasion d’approfondir la réflexion sur les conséquences de la pandémie qui nécessiteront de plus en plus de méthodes innovantes de faire des affaires et se frayer un chemin pour sortir de la crise.

FITA 2022 sera ainsi l’occasion pour les institutionnels et les opérateurs économiques de rencontrer la fine fleur de la finance internationale, les bailleurs de fonds panafricains et les fonds d’investissement pour discuter des mécanismes financiers de relance de l’économie africaine, des outils de développement du commerce interafricain et des leviers de l’investissement sur le continent.

Par ailleurs, FITA2022 comptera 2000 rencontres de networking et de BtoB professionnelles et constituera également l’occasion de faciliter les échanges à travers des tables rondes thématiques.

Les banques et les établissements financiers disposeront de leurs propres espaces BtoB pour échanger avec les intéressés.

Une plateforme pour les inscriptions et les prises de rendez-vous est déjà opérationnelle sur le site https://www.fita2022.com/#/landingpage/420

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La diplomatie économique tunisienne en Afrique, objet d’un débat de la SMU

Dans le cadre de son cycle de conférences intitulé « Les Jeudis de l’Afrique », la South Mediterranean University (SMU : MSB/MedTech/LCI), dont le Campus se situe aux Berges du Lac 2 à Tunis, a organisé, en collaboration avec l’association « Le Forum Tunisien des Politiques Publiques (FTPP) », une conférence-débat sur le thème de la diplomatie économique tunisienne en Afrique, en présence du Président-Fondateur de la SMU, Pr Mahmoud Triki, et à laquelle ont participé des experts de haut niveau à l’instar de Jaloul Ayed (président de VegaGroup, ancien ministre des Finances et président d’honneur de la TABC), Azouz Ennifar (ancien ambassadeur) et Walid Haj Amor (DG de Comete Engineering et vice-président de l’IACE), avec le concours de Ridha Mahjoub, (EMBA Alumni et expert en développement commercial pour la zone Afrique).

Le choix de ce thème s’inscrit dans le besoin pour la Tunisie de devoir renforcer ses liens avec l’Afrique, son premier partenaire commercial, pour créer de la valeur ajoutée et de l’emploi.

Lors de l’événement, il a été rappelé l’énorme potentiel que constitue l’Afrique en termes d’export pour la Tunisie mais dont les réalisations restent encore très limitées avec à peine 10% du total réalisé. Ce qui a fait dire aux intervenants qu’il n’y a pas lieu réellement de parler d’échanges actuellement et qu’il y a urgence à les dynamiser, d’autant que le contexte semble favorable étant donné l’adhésion depuis 2019 de la Tunisie à la Comesa (marché commun de l’Afrique orientale).

Autre point majeur évoqué, la nécessité de repenser la dimension diplomatique dans la politique économique et les échanges avec l’Afrique qui concernent aussi bien le niveau institutionnel que privé. L’une des principales réflexions a par exemple tourné autour de la diplomatie classique actuelle et sa capacité réelle à ajouter à sa mission politique une composante économique pour mieux sonder les milieux d’affaires et appuyer les cabinets de conseil pour capter les opportunités économiques.

La Tunisie étant géographiquement partie intégrante du continent africain, la relation sud-sud mériteraient donc qu’on y accorde encore plus d’intérêt, en particulier dans le contexte international actuel perturbé, ont souligné unanimement les intervenants. A cet effet il est crucial de comprendre que les échanges sur le continent africain visent d’abord la mobilité des personnes et, par conséquent, un transfert de compétences et de savoir.

Cette conférence a été une occasion de prendre part à l’un des débats les plus perspicaces, de partager des idées, de discuter de solutions et de réfléchir à un réel positionnement de la Tunisie dans le futur.

Exemples de retombées dans les médias tunisiens:

Site d’informations Webmanagercenter

Site d’informations Espace Manager

Site Entreprises Magazine

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Les établissements financiers bénéficieront des recherches sectorielles de PBR Rating

L’APTBEF (Association professionnelle tunisienne des banques et des établissements financiers) et PBR Rating, agence de notation financière tunisienne, marquent leur collaboration dans le cadre des travaux d’observation des risques financiers à l’échelle nationale. Les premiers travaux portent sur la cartographie des risques sectoriels mise à disposition par PBR Rating, au profit de l’APTBEF et ses membres, établissements bancaires et de leasing.

Le projet intervient après la présentation de la première note macro-économique diffusée en septembre 2020 à l’APTBEF, face aux dirigeants et premiers responsables des établissements financiers de la place. La pertinence et l’impact de cette note a conduit l’APTBEF, sur demande de ses membres (institutions bancaires et établissements de leasing), à solliciter une déclinaison sectorielle de l’étude macro-économique.

Pour les établissements financiers, le défi est double : continuer à financer une économie en difficultés structurelles tout en anticipant les risques sectoriels inhérents au contexte d’incertitude générale. L’enjeu est de préserver les acquis et de consolider les performances par une meilleure lecture et appréciation des risques sectoriels en détectant, par l’émission d’alertes, les dysfonctionnements, carences et failles à venir tout en permettant une meilleure visibilité des opportunités à saisir.

A travers ce projet, la corporation bancaire et de leasing donne les moyens à ses membres de se doter d’outils d’aide à la décision adéquats et adaptés pour les choix de financement en cette période de crise et de mutations.

La crise économique sous-jacente et ce qui est aujourd’hui communément appelé les « faillites Covid » n’ont fait qu’exacerber le besoin stratégique, voire l’obligation pour le secteur financier d’apprécier le plus finement et le plus précisément possible le risque de défaut de leurs contreparties.

Cette notion passe inévitablement par une meilleure anticipation possible des risques sectoriels, en ligne avec la circulaire BCT 2022-01 pour la prévention et la résolution des créances non-performantes. En réponse à cela et face à une demande latente des professionnels de la finance, PBR Rating, avec l’ensemble de ses partenaires, œuvre à créer un Observatoire des risques et des données financières avec, pour chantier prioritaire, la mise en place de la cartographie nationale des risques sectoriels en phase avec les attentes des autorités de supervision et de régulation.

Inaugurée en mai 2018, l’agence de notation financière tunisienne PBR Rating est d’intérêt général et prône la transparence et la qualité de gouvernance des entreprises et institutions ; elle permet également de préserver la souveraineté nationale du pays en matière d’expertise et de recours aux missions de notation financière. Il est à noter que PBR Rating est la première agence de notation maghrébine. Elle est née de l’initiative de la sphère financière locale, notamment des banques de la place, et vient combler un retard sur la région et, plus globalement, le continent, puisqu’une douzaine de pays en Afrique se sont déjà organisés, pour certains depuis plus de 25 ans, en se dotant de leur agence de notation nationale.

 A sa création, l’agence de notation PBR Rating s’est vue confiée 3 axes de travail prioritaires. D’une part, la notation des collectivités locales (au regard de leur autonomie financière acquise) ; d’autre part, la notation des entreprises publiques et, enfin, la notation des institutions financières et de leurs contreparties à risque. PBR Rating fait part de son bilan sur 2021, en annonçant, l’attribution des premières notations des établissements financiers, réparties entre établissements bancaires, de leasing, de microfinance et de sociétés de gestion de fonds. Parallèlement aux services de notation classique, PBR Rating s’attèle à réaliser régulièrement des travaux de recherches et d’études économiques.

Exemples de retombées presse:

IlBoursa: site spécialisé dans l’information boursière

Webmanagercenter: site d’information économique

L’Economiste Maghrébin: site d’information économique

Managers: Site d’information économique

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Le groupe Air France annonce un renforcement de ses vols sur la Tunisie pour l’été 2022

Air France a arrêté un programme de vols consolidés sur la Tunisie pour la saison été 2022.

En plus de sa ligne régulière traditionnelle au départ de Paris-CDG, la compagnie va mettre en place de nouvelles dessertes vers Tunis, Monastir et Djerba au départ des aéroports parisiens et de la province.

A ce titre et dès la fin du mois d’avril, la ligne Paris-Djerba sera réactivée aux côtés de la ligne Paris-Monastir qui seront opérationnelles durant les pics de haute saison. Et à compter du 29 mai, Air France lancera un nouveau vol quotidien vers Tunis au départ de l’aéroport de Paris-Orly.

Durant les mois de juillet et août, elle mettra en place des vols saisonniers sur Tunis au départ de Nice et de Marseille.

Ces vols seront effectués en complémentarité avec le réseau Transavia, filiale d’Air France-KLM, qui s’apprête également à enrichir son programme de vols vers la Tunisie au départ de Lyon, Montpellier et Nantes en plus de nouvelles dessertes, notamment sur les axes Nice-Monastir, Marseille-Monastir et Marseille-Tunis.

Au cours de sa récente visite en Tunisie, M. Nicolas Fouquet, directeur régional d’Air France-KLM pour l’Afrique du nord et le Sahel, a été reçu par les ministres, successivement du Tourisme, M. Moez Belhassine, et du Transport, M. Rabie Majid.

La délégation, composée également de M. Jean-Marc Breton, directeur d’Air France Tunis, et de M. Karim Chouchane, directeur général de Kars International, représentant de Transavia, a échangé avec les ministres sur les perspectives de l’été 2022 dans le secteur aérien entre la Tunisie et la France pour le transport notamment des Tunisiens résident à l’étranger et des touristes venant en vacances.

Le groupe Air France confirme à travers son programme de l’été 2022 son investissement sur la destination à travers la mise en place d’une offre en sièges consolidée au départ de la France vers la Tunisie.

Quelques exemples de retombées  générées dans la presse tunisienne:

Journal Destination Tunisie spécialisé tourisme

Site Ilboursa spécialisé dans l’information économique

Site d’informations générales Espace Manager

Site d’informations en langue arabe ElQuotidien

best-agency-Press-tunis

Quotidien Le Temps du 2 mars 2022

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Wenercon : les banquiers et les financiers se mobilisent pour appuyer la transition énergétique

L’APTBEF (Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers) co-organise avec Peco Energy et le Chapitre tunisien de l’AEE, la troisième édition de Wenercon 2022, placée cette année sous le thème « Banque durable & accès à la finance verte pour les PME & BEF ».

L’événement, qui se déroule du 22 au 25 février courant, vise à fournir une compréhension commune du changement climatique, de ses impacts et de ses effets sur le business, les instruments innovants et les sources de financement pour des projets respectueux de l’environnement. Il réunit plus de 200 participants représentant le secteur industriel, les professionnels des PME, les experts financiers et les acteurs du secteur bancaire pour débattre sur le financement, le changement climatique, l’adaptation ou encore le risque que le changement climatique fait peser sur le portefeuille des petites et moyennes entreprises et d’une institution financière. Il s’agit également d’identifier les opportunités et les mesures pour l’élaboration d’une stratégie de lutte contre le changement climatique.

Mme Mouna Saïed, Déléguée Générale de l’APTBEF, a déclaré, lors de l’allocution d’ouverture de l’événement, que malgré les efforts consentis depuis 50 ans à l’échelle mondiale, le climat pose toujours problème. Tout le monde est appelé à redoubler d’effort et à se mobiliser pour atteindre les objectifs de développement durable afin de laisser aux générations futures un environnement où elles pourront vivre dignement et s’épanouir. « Il s’agit également d’accompagner les entreprises dans leur transition énergétique », a-t-elle poursuivi.

Invitée à Tunis, Mme Laurie Wiegand-Jackson, Présidente et fondatrice d’Utility Advantage & AEE Legend in Energy and Founder of CWEEL USA, a axé son intervention sur un autre sujet non moins important à savoir la participation de la femme et son rôle dans la transition énergétique. Elle a considéré que les femmes constituent un levier important de croissance d’après plusieurs expériences. « Les entreprises qui recrutent plusieurs femmes au sein de leurs structures et dans des postes à responsabilité et de décision sont jusqu’à 47% plus performantes que les autres entreprises », a-t-elle affirmé. Cela se justifie, selon elle, par le fait que « les femmes leaders accordent plus d’attention à tout ce qui est performance environnementale, à l’anticorruption et à la transparence ». Elle a appelé, dans cette optique, à former les femmes, à mieux les orienter et à les coacher pour qu’elles soient conscientes des opportunités sur le marché du travail.

De son côté, M. Ayoub Baba, Président de l’AEE Tunisia Chapter, a mis en exergue l’importance de la transition vers les énergies vertes, tout en soulignant que réussir cette transition ne peut se faire sans l’engagement et la participation d’un partenaire important qui est le secteur bancaire.

Il a indiqué par ailleurs que sa structure travaille sur plusieurs projets dont une stratégie d’adaptation qui s’articule autour de plusieurs étapes. Il s’agit principalement d’identifier l’impact du changement climatique sur l’entreprise et d’évaluer les risques et les opportunités en vue d’établir les mesures requises d’adaptation.

Quant à M. Steven Fawkes, Managing Partner EP Group du Royaume-Uni, celui-ci a focalisé sur la question du financement, en expliquant tout d’abord que les demandes de l’énergie sont de plus en plus importantes et qu’une baisse de la consommation de l’énergie classique est difficile à réaliser.

A l’occasion, ont été présentés les résultats d’une étude réalisée par le cabinet McKinzy qui démontre que l’énergie solaire a toujours été sous-estimée. « Il y a plusieurs exemples expliquant pourquoi les établissements financiers devront s’intéresser à la transition énergétique, comme le profit qui est devenu de plus en plus important, la réduction des risques, ainsi que la responsabilité sociétale des entreprises », a dit M. Fawkes.

Dans le but de mener à bien cette transition énergétique, l’intervenant a proposé d’établir une stratégie claire avec une feuille de route stratégique qui détermine le rôle de chacun. La communication pour rapprocher et mobiliser les porteurs de projets avec les établissements financiers, ainsi que la diversification des instruments de financement, sont également fondamentales pour faire réussir cette stratégie.

Carlos Mollinedo, économiste en chef à la BAD (Banque Africaine de Développement), a présenté de son côté les outils et les mécanismes de financement de la banque. Il a souligné le changement de la stratégie de la BAD allant de plus en plus vers le financement des énergies renouvelables depuis 2011. « En Tunisie, nous menons 41 opérations d’un montant total de 1,7 milliard d’euros dont 4 dans le secteur de l’électricité avec un montant total de 300 millions d’euros », a-t-il précisé.

Pour conclure, M. Mohamed Alaoui, expert en finance verte et atténuation du changement climatique, USA, a indiqué qu’il est important d’accéder aux fonds dédiés à la finance verte, soulignant qu’il existe différents mécanismes de financement dont ceux réservés à l’adaptation. Il s’agit précisément d’investissements dans l’infrastructure.

Lors de la première journée de l’événement, les organisateurs ont distribué les prix de Wenercon aux représentants des banques et des entreprises les plus engagées dans l’économie verte et la transition énergétique.

Liste des lauréats:

Best Green Bank:

1er Prix :  Amen Bank

2ème Prix : Attijari Bank

3ème Prix : UBCI

Best RSE Manager:

1er Prix :  Mme Yousser Achich de l’UBCI

2ème Prix : Melle Mejda Ben Hassine de l’ATB

Best Project Energy:

Azur Papier financé par Amen Bank

Best Woman in Energy Award:

Melle Noura Laaroussi

Best Corporate Energy Management :

Groupe Rose Blanche

Best Energy Engineer :

Mme Mariem Maazi

Energy Research Project Project of the Year :

Mme Ons Farah Tbessi

Best Energy Manager :

Mr. Omar Ben Hamed

 

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TIM, nouveau représentant en Tunisie de DAF, leader européen des poids lourds

TIM (Truck International Mobility) annonce le démarrage de la commercialisation en Tunisie des poids lourds de la marque néerlandaise DAF, l’un des leaders européens du secteur.

En sa qualité de nouveau représentant de DAF, TIM, filiale de SETCAR, groupe fondé dans les années 70 et qui opère dans divers secteurs d’activité dont notamment la distribution de camions, autocars et véhicules automobiles, vient d’introduire, dans une première étape, des tracteurs routiers pour répondre aux attentes du marché tunisien sur ce segment spécifique.

Il s’agit du modèle DAF CF de nouvelle génération qui a obtenu toutes les homologations requises et qui est destiné à subvenir aux besoins de l’ensemble des segments du transport routier.

Les modèles DAF CF offrent des coûts d’exploitation et d’utilisation au km parmi les plus rentables grâce à un LCC (Life Cycle Cost ou coût du cycle de vie) optimal combinant robustesse, rentabilité, consommation de carburant maîtrisée, conditions de sécurité ainsi que de confort pour les chauffeurs.

« Nous commercialisons tous les produits de la gamme DAF qui est considérée comme une marque premium et également leader européen sur le segment des tracteurs routiers avec une part de marché de près de 20% » souligne à ce propos M. Nafaa Lassoued, Directeur général adjoint de la société TIM. « Notre ambition est de devenir leader de notre marché sur ce segment, d’une part grâce à l’excellent rendement que le produit apporte à ses utilisateurs et, d’autre part, à l’expérience et au savoir-faire de notre entreprise » ajoute-t-il.

La représentation de la marque DAF s’appuiera sur les infrastructures et les ressources humaines qualifiées du groupe SETCAR et de ses différentes filiales.

Fort de ces atouts, TIM fournira à ses clients tous les services qu’ils sont en droit d’attendre pour l’exploitation optimale de leurs véhicules à travers son réseau, la disponibilité immédiate des pièces de rechanges et la fourniture de services d’entretien et d’assistance assurée par une équipe dédiée et formée aux standards de DAF.

Les tracteurs routiers DAF pourront être entretenus au sein des deux principaux ateliers de TIM/SETCAR, à Ezzahra (GP1) et Sousse (zone industrielle Ghrib). Plus encore, la société a déployé deux véhicules d’assistance technique rapide (Mobile Workshop) qui se déplaceront pour répondre à toute demande, y compris pour les entretiens périodiques.

Dans une démarche de proximité avec les utilisateurs de camions de la marque DAF, TIM ouvrira progressivement un certain nombre d’agences et de succursales dans différentes régions du pays. A terme, le programme d’extension des agences permettra de couvrir un rayon de 60 km afin de réduire à son maximum le temps d’immobilisation des engins et leur assurer un taux de disponibilité élevé.

Le DAF CF importé en Tunisie par le concessionnaire TIM se distingue par sa consommation de carburant la plus faible du secteur. Sur les longs trajets, le camion réalise jusqu’à 7 % d’économies de carburant grâce au couple plus élevé à des régimes plus bas, ainsi qu’aux chaînes cinématiques optimisées, aux nouveaux essieux arrière à haut rendement et aux améliorations apportées à l’électronique et à l’aérodynamisme. De plus, les économies de carburant permettent de limiter le coût total de possession.

Le DAF CF n’est pas seulement le camion le plus polyvalent du secteur, c’est également un véhicule très élégant, à l’intérieur comme à l’extérieur. Les nouvelles caractéristiques de la carrosserie et la nouvelle architecture de la cabine en font un véhicule attrayant, confortable et agréable à conduire.

Sa cabine assure également un confort exceptionnel tout en garantissant des niveaux de bruit extrêmement faibles. Les sièges bénéficient d’une nouvelle garniture et le volant a été doté d’accents argentés intégrant des nouvelles commandes permettant une conduite sécurisée. Les parois, les matelas et les rideaux affichent de nouvelles couleurs chaudes, pour un environnement haut de gamme dans lequel tous les chauffeurs se verront offrir des conditions de travail confortables.

Le DAF CF propose un éventail de nouvelles puissances nominales offertes par les moteurs à couple multiple PACCAR MX-13. Ces puissances nominales permettent de bénéficier d’un couple encore plus important à bas régime et de limiter le régime moteur. Les véhicules peuvent ainsi rouler à faible régime moteur (900 tr/min) pour plus d’efficacité, de fiabilité et de durabilité, mais aussi pour produire des niveaux de bruit extrêmement bas. Un surplus de couple est également disponible au rapport le plus élevé pour une meilleure maniabilité.

Quelques retombées dans la presse en Tunisie:

Sayarti: Premier magazine automobile en Tunisie

L’Economiste Maghrébin: site d’informations économiques

Webmanagercenter: site d’informations en ligne