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Les établissements financiers bénéficieront des recherches sectorielles de PBR Rating

L’APTBEF (Association professionnelle tunisienne des banques et des établissements financiers) et PBR Rating, agence de notation financière tunisienne, marquent leur collaboration dans le cadre des travaux d’observation des risques financiers à l’échelle nationale. Les premiers travaux portent sur la cartographie des risques sectoriels mise à disposition par PBR Rating, au profit de l’APTBEF et ses membres, établissements bancaires et de leasing.

Le projet intervient après la présentation de la première note macro-économique diffusée en septembre 2020 à l’APTBEF, face aux dirigeants et premiers responsables des établissements financiers de la place. La pertinence et l’impact de cette note a conduit l’APTBEF, sur demande de ses membres (institutions bancaires et établissements de leasing), à solliciter une déclinaison sectorielle de l’étude macro-économique.

Pour les établissements financiers, le défi est double : continuer à financer une économie en difficultés structurelles tout en anticipant les risques sectoriels inhérents au contexte d’incertitude générale. L’enjeu est de préserver les acquis et de consolider les performances par une meilleure lecture et appréciation des risques sectoriels en détectant, par l’émission d’alertes, les dysfonctionnements, carences et failles à venir tout en permettant une meilleure visibilité des opportunités à saisir.

A travers ce projet, la corporation bancaire et de leasing donne les moyens à ses membres de se doter d’outils d’aide à la décision adéquats et adaptés pour les choix de financement en cette période de crise et de mutations.

La crise économique sous-jacente et ce qui est aujourd’hui communément appelé les « faillites Covid » n’ont fait qu’exacerber le besoin stratégique, voire l’obligation pour le secteur financier d’apprécier le plus finement et le plus précisément possible le risque de défaut de leurs contreparties.

Cette notion passe inévitablement par une meilleure anticipation possible des risques sectoriels, en ligne avec la circulaire BCT 2022-01 pour la prévention et la résolution des créances non-performantes. En réponse à cela et face à une demande latente des professionnels de la finance, PBR Rating, avec l’ensemble de ses partenaires, œuvre à créer un Observatoire des risques et des données financières avec, pour chantier prioritaire, la mise en place de la cartographie nationale des risques sectoriels en phase avec les attentes des autorités de supervision et de régulation.

Inaugurée en mai 2018, l’agence de notation financière tunisienne PBR Rating est d’intérêt général et prône la transparence et la qualité de gouvernance des entreprises et institutions ; elle permet également de préserver la souveraineté nationale du pays en matière d’expertise et de recours aux missions de notation financière. Il est à noter que PBR Rating est la première agence de notation maghrébine. Elle est née de l’initiative de la sphère financière locale, notamment des banques de la place, et vient combler un retard sur la région et, plus globalement, le continent, puisqu’une douzaine de pays en Afrique se sont déjà organisés, pour certains depuis plus de 25 ans, en se dotant de leur agence de notation nationale.

 A sa création, l’agence de notation PBR Rating s’est vue confiée 3 axes de travail prioritaires. D’une part, la notation des collectivités locales (au regard de leur autonomie financière acquise) ; d’autre part, la notation des entreprises publiques et, enfin, la notation des institutions financières et de leurs contreparties à risque. PBR Rating fait part de son bilan sur 2021, en annonçant, l’attribution des premières notations des établissements financiers, réparties entre établissements bancaires, de leasing, de microfinance et de sociétés de gestion de fonds. Parallèlement aux services de notation classique, PBR Rating s’attèle à réaliser régulièrement des travaux de recherches et d’études économiques.

Exemples de retombées presse:

IlBoursa: site spécialisé dans l’information boursière

Webmanagercenter: site d’information économique

L’Economiste Maghrébin: site d’information économique

Managers: Site d’information économique

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Le groupe Air France annonce un renforcement de ses vols sur la Tunisie pour l’été 2022

Air France a arrêté un programme de vols consolidés sur la Tunisie pour la saison été 2022.

En plus de sa ligne régulière traditionnelle au départ de Paris-CDG, la compagnie va mettre en place de nouvelles dessertes vers Tunis, Monastir et Djerba au départ des aéroports parisiens et de la province.

A ce titre et dès la fin du mois d’avril, la ligne Paris-Djerba sera réactivée aux côtés de la ligne Paris-Monastir qui seront opérationnelles durant les pics de haute saison. Et à compter du 29 mai, Air France lancera un nouveau vol quotidien vers Tunis au départ de l’aéroport de Paris-Orly.

Durant les mois de juillet et août, elle mettra en place des vols saisonniers sur Tunis au départ de Nice et de Marseille.

Ces vols seront effectués en complémentarité avec le réseau Transavia, filiale d’Air France-KLM, qui s’apprête également à enrichir son programme de vols vers la Tunisie au départ de Lyon, Montpellier et Nantes en plus de nouvelles dessertes, notamment sur les axes Nice-Monastir, Marseille-Monastir et Marseille-Tunis.

Au cours de sa récente visite en Tunisie, M. Nicolas Fouquet, directeur régional d’Air France-KLM pour l’Afrique du nord et le Sahel, a été reçu par les ministres, successivement du Tourisme, M. Moez Belhassine, et du Transport, M. Rabie Majid.

La délégation, composée également de M. Jean-Marc Breton, directeur d’Air France Tunis, et de M. Karim Chouchane, directeur général de Kars International, représentant de Transavia, a échangé avec les ministres sur les perspectives de l’été 2022 dans le secteur aérien entre la Tunisie et la France pour le transport notamment des Tunisiens résident à l’étranger et des touristes venant en vacances.

Le groupe Air France confirme à travers son programme de l’été 2022 son investissement sur la destination à travers la mise en place d’une offre en sièges consolidée au départ de la France vers la Tunisie.

Quelques exemples de retombées  générées dans la presse tunisienne:

Journal Destination Tunisie spécialisé tourisme

Site Ilboursa spécialisé dans l’information économique

Site d’informations générales Espace Manager

Site d’informations en langue arabe ElQuotidien

best-agency-Press-tunis

Quotidien Le Temps du 2 mars 2022

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Wenercon : les banquiers et les financiers se mobilisent pour appuyer la transition énergétique

L’APTBEF (Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers) co-organise avec Peco Energy et le Chapitre tunisien de l’AEE, la troisième édition de Wenercon 2022, placée cette année sous le thème « Banque durable & accès à la finance verte pour les PME & BEF ».

L’événement, qui se déroule du 22 au 25 février courant, vise à fournir une compréhension commune du changement climatique, de ses impacts et de ses effets sur le business, les instruments innovants et les sources de financement pour des projets respectueux de l’environnement. Il réunit plus de 200 participants représentant le secteur industriel, les professionnels des PME, les experts financiers et les acteurs du secteur bancaire pour débattre sur le financement, le changement climatique, l’adaptation ou encore le risque que le changement climatique fait peser sur le portefeuille des petites et moyennes entreprises et d’une institution financière. Il s’agit également d’identifier les opportunités et les mesures pour l’élaboration d’une stratégie de lutte contre le changement climatique.

Mme Mouna Saïed, Déléguée Générale de l’APTBEF, a déclaré, lors de l’allocution d’ouverture de l’événement, que malgré les efforts consentis depuis 50 ans à l’échelle mondiale, le climat pose toujours problème. Tout le monde est appelé à redoubler d’effort et à se mobiliser pour atteindre les objectifs de développement durable afin de laisser aux générations futures un environnement où elles pourront vivre dignement et s’épanouir. « Il s’agit également d’accompagner les entreprises dans leur transition énergétique », a-t-elle poursuivi.

Invitée à Tunis, Mme Laurie Wiegand-Jackson, Présidente et fondatrice d’Utility Advantage & AEE Legend in Energy and Founder of CWEEL USA, a axé son intervention sur un autre sujet non moins important à savoir la participation de la femme et son rôle dans la transition énergétique. Elle a considéré que les femmes constituent un levier important de croissance d’après plusieurs expériences. « Les entreprises qui recrutent plusieurs femmes au sein de leurs structures et dans des postes à responsabilité et de décision sont jusqu’à 47% plus performantes que les autres entreprises », a-t-elle affirmé. Cela se justifie, selon elle, par le fait que « les femmes leaders accordent plus d’attention à tout ce qui est performance environnementale, à l’anticorruption et à la transparence ». Elle a appelé, dans cette optique, à former les femmes, à mieux les orienter et à les coacher pour qu’elles soient conscientes des opportunités sur le marché du travail.

De son côté, M. Ayoub Baba, Président de l’AEE Tunisia Chapter, a mis en exergue l’importance de la transition vers les énergies vertes, tout en soulignant que réussir cette transition ne peut se faire sans l’engagement et la participation d’un partenaire important qui est le secteur bancaire.

Il a indiqué par ailleurs que sa structure travaille sur plusieurs projets dont une stratégie d’adaptation qui s’articule autour de plusieurs étapes. Il s’agit principalement d’identifier l’impact du changement climatique sur l’entreprise et d’évaluer les risques et les opportunités en vue d’établir les mesures requises d’adaptation.

Quant à M. Steven Fawkes, Managing Partner EP Group du Royaume-Uni, celui-ci a focalisé sur la question du financement, en expliquant tout d’abord que les demandes de l’énergie sont de plus en plus importantes et qu’une baisse de la consommation de l’énergie classique est difficile à réaliser.

A l’occasion, ont été présentés les résultats d’une étude réalisée par le cabinet McKinzy qui démontre que l’énergie solaire a toujours été sous-estimée. « Il y a plusieurs exemples expliquant pourquoi les établissements financiers devront s’intéresser à la transition énergétique, comme le profit qui est devenu de plus en plus important, la réduction des risques, ainsi que la responsabilité sociétale des entreprises », a dit M. Fawkes.

Dans le but de mener à bien cette transition énergétique, l’intervenant a proposé d’établir une stratégie claire avec une feuille de route stratégique qui détermine le rôle de chacun. La communication pour rapprocher et mobiliser les porteurs de projets avec les établissements financiers, ainsi que la diversification des instruments de financement, sont également fondamentales pour faire réussir cette stratégie.

Carlos Mollinedo, économiste en chef à la BAD (Banque Africaine de Développement), a présenté de son côté les outils et les mécanismes de financement de la banque. Il a souligné le changement de la stratégie de la BAD allant de plus en plus vers le financement des énergies renouvelables depuis 2011. « En Tunisie, nous menons 41 opérations d’un montant total de 1,7 milliard d’euros dont 4 dans le secteur de l’électricité avec un montant total de 300 millions d’euros », a-t-il précisé.

Pour conclure, M. Mohamed Alaoui, expert en finance verte et atténuation du changement climatique, USA, a indiqué qu’il est important d’accéder aux fonds dédiés à la finance verte, soulignant qu’il existe différents mécanismes de financement dont ceux réservés à l’adaptation. Il s’agit précisément d’investissements dans l’infrastructure.

Lors de la première journée de l’événement, les organisateurs ont distribué les prix de Wenercon aux représentants des banques et des entreprises les plus engagées dans l’économie verte et la transition énergétique.

Liste des lauréats:

Best Green Bank:

1er Prix :  Amen Bank

2ème Prix : Attijari Bank

3ème Prix : UBCI

Best RSE Manager:

1er Prix :  Mme Yousser Achich de l’UBCI

2ème Prix : Melle Mejda Ben Hassine de l’ATB

Best Project Energy:

Azur Papier financé par Amen Bank

Best Woman in Energy Award:

Melle Noura Laaroussi

Best Corporate Energy Management :

Groupe Rose Blanche

Best Energy Engineer :

Mme Mariem Maazi

Energy Research Project Project of the Year :

Mme Ons Farah Tbessi

Best Energy Manager :

Mr. Omar Ben Hamed

 

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TIM, nouveau représentant en Tunisie de DAF, leader européen des poids lourds

TIM (Truck International Mobility) annonce le démarrage de la commercialisation en Tunisie des poids lourds de la marque néerlandaise DAF, l’un des leaders européens du secteur.

En sa qualité de nouveau représentant de DAF, TIM, filiale de SETCAR, groupe fondé dans les années 70 et qui opère dans divers secteurs d’activité dont notamment la distribution de camions, autocars et véhicules automobiles, vient d’introduire, dans une première étape, des tracteurs routiers pour répondre aux attentes du marché tunisien sur ce segment spécifique.

Il s’agit du modèle DAF CF de nouvelle génération qui a obtenu toutes les homologations requises et qui est destiné à subvenir aux besoins de l’ensemble des segments du transport routier.

Les modèles DAF CF offrent des coûts d’exploitation et d’utilisation au km parmi les plus rentables grâce à un LCC (Life Cycle Cost ou coût du cycle de vie) optimal combinant robustesse, rentabilité, consommation de carburant maîtrisée, conditions de sécurité ainsi que de confort pour les chauffeurs.

« Nous commercialisons tous les produits de la gamme DAF qui est considérée comme une marque premium et également leader européen sur le segment des tracteurs routiers avec une part de marché de près de 20% » souligne à ce propos M. Nafaa Lassoued, Directeur général adjoint de la société TIM. « Notre ambition est de devenir leader de notre marché sur ce segment, d’une part grâce à l’excellent rendement que le produit apporte à ses utilisateurs et, d’autre part, à l’expérience et au savoir-faire de notre entreprise » ajoute-t-il.

La représentation de la marque DAF s’appuiera sur les infrastructures et les ressources humaines qualifiées du groupe SETCAR et de ses différentes filiales.

Fort de ces atouts, TIM fournira à ses clients tous les services qu’ils sont en droit d’attendre pour l’exploitation optimale de leurs véhicules à travers son réseau, la disponibilité immédiate des pièces de rechanges et la fourniture de services d’entretien et d’assistance assurée par une équipe dédiée et formée aux standards de DAF.

Les tracteurs routiers DAF pourront être entretenus au sein des deux principaux ateliers de TIM/SETCAR, à Ezzahra (GP1) et Sousse (zone industrielle Ghrib). Plus encore, la société a déployé deux véhicules d’assistance technique rapide (Mobile Workshop) qui se déplaceront pour répondre à toute demande, y compris pour les entretiens périodiques.

Dans une démarche de proximité avec les utilisateurs de camions de la marque DAF, TIM ouvrira progressivement un certain nombre d’agences et de succursales dans différentes régions du pays. A terme, le programme d’extension des agences permettra de couvrir un rayon de 60 km afin de réduire à son maximum le temps d’immobilisation des engins et leur assurer un taux de disponibilité élevé.

Le DAF CF importé en Tunisie par le concessionnaire TIM se distingue par sa consommation de carburant la plus faible du secteur. Sur les longs trajets, le camion réalise jusqu’à 7 % d’économies de carburant grâce au couple plus élevé à des régimes plus bas, ainsi qu’aux chaînes cinématiques optimisées, aux nouveaux essieux arrière à haut rendement et aux améliorations apportées à l’électronique et à l’aérodynamisme. De plus, les économies de carburant permettent de limiter le coût total de possession.

Le DAF CF n’est pas seulement le camion le plus polyvalent du secteur, c’est également un véhicule très élégant, à l’intérieur comme à l’extérieur. Les nouvelles caractéristiques de la carrosserie et la nouvelle architecture de la cabine en font un véhicule attrayant, confortable et agréable à conduire.

Sa cabine assure également un confort exceptionnel tout en garantissant des niveaux de bruit extrêmement faibles. Les sièges bénéficient d’une nouvelle garniture et le volant a été doté d’accents argentés intégrant des nouvelles commandes permettant une conduite sécurisée. Les parois, les matelas et les rideaux affichent de nouvelles couleurs chaudes, pour un environnement haut de gamme dans lequel tous les chauffeurs se verront offrir des conditions de travail confortables.

Le DAF CF propose un éventail de nouvelles puissances nominales offertes par les moteurs à couple multiple PACCAR MX-13. Ces puissances nominales permettent de bénéficier d’un couple encore plus important à bas régime et de limiter le régime moteur. Les véhicules peuvent ainsi rouler à faible régime moteur (900 tr/min) pour plus d’efficacité, de fiabilité et de durabilité, mais aussi pour produire des niveaux de bruit extrêmement bas. Un surplus de couple est également disponible au rapport le plus élevé pour une meilleure maniabilité.

Quelques retombées dans la presse en Tunisie:

Sayarti: Premier magazine automobile en Tunisie

L’Economiste Maghrébin: site d’informations économiques

Webmanagercenter: site d’informations en ligne

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Sortie de la première cohorte de doubles diplômés MSB Tunis et HEC Montréal

Dans le cadre du partenariat qui lie la Mediterranean School of Business (MSB), relevant de la South Mediterranean University (SMU), à l’université HEC Montréal, une première cohorte de 35 apprenants se sont vu remettre récemment leur certificat attestant de leur réussite à un mini MBA organisé  conjointement par les deux établissements.

Il s’agit d’un programme post-bac certifiant non diplômant dispensé en langue française à des cadres actuellement en exercice pour répondre à des besoins actuels.

A l’occasion de la cérémonie de remise des diplômes, Pr Mahmoud Triki, président-fondateur de la MSB-SMU, a rappelé que le partenariat stratégique avec HEC Montréal remonte à l’année 2014, correspondant au lancement du double diplôme, licence MSB et Bachelor HEC Montréal. Plus d’une centaine d’étudiants ayant démarré à la MSB sont actuellement à HEC Montréal dans le cadre de ce partenariat. Il a également salué l’extension de ce partenariat à l’école d’ingénieurs MedTech avec le lancement cette rentrée universitaire 2021-2022 du programme ingénieur-manager. Les étudiants inscrits dans ce programme auront à la fin des 5 années d’études le diplôme d’ingénieur de MedTech et le Bachelor en Business Administration de HEC Montréal.

Présent à la cérémonie, Son Excellence Patrice Cousineau, ambassadeur du Canada en Tunisie, s’est félicité de la longue coopération dans différents secteurs existant entre la Tunisie et le Canada et de l’extension de cette coopération au milieu académique. S’adressant aux participants, l’ambassadeur a formulé le vœu de les voir contribuer au renforcement des relations tuniso-canadiennes dans le milieu des affaires.

Actuellement, une deuxième cohorte de 38 participants prend part au Mini MBA et la Cohorte 3 est prévu pour Janvier 2022. Tout comme les MBA traditionnels, le mini-MBA s’adresse aux cadres et dirigeants d’entreprises qui sont déjà en activité et qui souhaitent actualiser leurs connaissances ou qui cherchent à relever de nouveaux défis sur le plan professionnel.

Tous ces programmes sont des formations d’élite qui s’inscrivent dans le cadre de la politique d’excellence de la SMU avec des partenaires de renommée internationale.

Il est à noter que d’autres programmes gradués sont actuellement en cours de développement avec un lancement prévu en 2022.

A propos de la South Mediterranean University (SMU)

Fondée en 2002, la South Mediterranean University (SMU) est la première Université anglophone en Tunisie. Elle est installée aux Berges du Lac 2 à Tunis. Son école (MSB) offre des programmes de Licence, de Masters et d’Exécutive MBA ainsi que des séminaires de courte durée couvrant les différentes fonctions de l’entreprise en anglais, en français et également en arabe. La SMU dispose également d’une école d’ingénieurs, le Mediterranean Institute of Technology (MedTech) et d’un centre de langues (Language and Culture Institute – LCI).

Au cours des dernières années, la SMU s’est incontestablement imposée comme l’une des vitrines du savoir-faire éducatif tunisien, reposant sur une qualité de formation devenue une référence académique dans le bassin méditerranéen et en Afrique, attirant des étudiants d’une quarantaine de nationalités différentes et s’appuyant sur un cadre enseignant hautement qualifié et titulaire de doctorats d’universités nord-américaines et européennes. Ses programmes de Masters et d’Executive MBA sont accrédités par l’Association des MBAs basée à Londres (Grande Bretagne) et son programme de Licence par l’organisme européen EFMD (Belgique).

Exemples de retombées de presse:

Site d’informations BusinessNews

Journal en ligne Kapitalis

Site Réalités online

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Article paru sur le sujet dans le magazine Entreprises du mois de novembre 2021.

Article paru dans le journal Le Quotidien le 10 octobre 2021.

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Tunisair Express bientôt sur la ligne Tunis-Rome

Dans le cadre de l’extension de son réseau international de proximité, Tunisair Express ouvrira à partir du 4 juillet 2021 une nouvelle desserte au départ de Tunis-Carthage vers Rome-Fiumicino.

Deux fréquences par semaine seront assurées dans un premier temps tous les dimanches et lundis, avant de passer à une troisième fréquence le mardi à compter du mois d’août en complémentarité avec les vols de la compagnie Tunisair.

L’ouverture par Tunisair Express de cette ligne estivale a pour objectif d’offrir des capacités aériennes supplémentaires pour permettre aux Tunisiens résident à l’étranger de passer leurs vacances en Tunisie.

Ce vol est également ouvert aux touristes individuels et aux tour-opérateurs italiens désireux d’y contracter des blocs-sièges pour leur clientèle.

Au départ de Tunis, la destination Rome offrira une alternative complémentaire aux Tunisiens désireux de se déplacer vers la capitale italienne à titre individuel ou dans le cadre de séjours organisés par les agences de voyages.

Cette nouvelle ligne internationale s’ajoute au réseau de Tunisair Express qui dessert actuellement Malte, Palerme, Naples au départ de Tunis et, depuis peu, Tripoli en Libye au départ de Sfax.

Quelques exemples de retombées presse dans la presse tunisienne :

Destination Tunisie: site d’informations touristiques

BusinessNews: site d’informations politiques et économiques

Mosaïque FM: site de la station radio

Espace Manager: site d’information généraliste

Entreprises Magazine: site d’information économique

agence-PR-journal-assabah

Article sur le sujet paru dans le quotidien arabophone Assabah du 17 juin 2021 en page 8.

agence-presse-tunis

Article paru dans le quotidien francophone Le Temps le 17 juin 2021 en page 2.

 

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12 start-up dans le nouvel incubateur de la SMU

12 jeunes entreprises agissant dans les secteurs des biens et des services dans le digital ont été admises au sein du nouvel incubateur de start-up, « SMU Incubator », qui vient de voir le jour à l’initiative de la South Mediterranean University (SMU : MSB/MedTech) à Tunis.

Ces start-up, dont certaines sont déjà opérationnelles et d’autres en cours de montage, sont à la recherche d’encadrement et de conseils en tous genres afin d’être soutenues dans leur recherche de croissance.

Cette  première cohorte d’entrepreneurs est composée d‘étudiants ou de diplômés de la SMU, soit dans la branche des  Affaires (à travers la MSB) ou avec l’école d’ingénieurs (MedTech). Néanmoins, les prochains appels à candidatures lancés par le « SMU Incubator » seront ouverts à tout entrepreneur externe à la communauté SMU.

A ce titre, les start-up bénéficieront d’un accompagnement régulier pendant une période de 3 mois par le biais de différents mentors issus du monde des affaires mais aussi par des coachs, des Alumni (anciens étudiants) ainsi que par des enseignants de la SMU pour leur permettre d’aller de l’avant et trouver des solutions aux principales contraintes qu’elles rencontrent.

« Notre objectif, à travers le lancement de cet incubateur, est d’incarner un esprit entrepreneurial à tous nos diplômés car, comme le soulignait notre slogan dès le départ, nous ne formons pas des demandeurs d’emplois mais des créateurs d’emplois », a déclaré M. Mahmoud Triki, Président-Fondateur de la SMU, à l’occasion de la cérémonie d’inauguration qui a vu la présence de plusieurs représentants des secteurs économique, bancaire, touristique, de fonds d’investissement, etc.

Parmi les projets ayant intégré le « SMU Incubator », les start-up suivantes : « Wock’t » tout d’abord qui s’est spécialisée dans la production d’objets et d’accessoires artisanaux à base de cuir et de bois, « Barbacha » qui commercialise de l’habillement de seconde main sur internet dans une démarche de shopping responsable, « My-Oya » qui a entamé son activité par la commercialisation de sa propre ligne de maillots de bain stylisés sur une market-place et qui compte élargir son activité aux sous-vêtements et autres produits vestimentaires, « I-Fix » qui assure la réparation de tout matériel électronique à travers un réseau spécialisé qui se charge ensuite de le relivrer à son propriétaire, « Eat & Fit » qui est un programme de repas diététique sur mesure, ainsi que des projets en rapport avec le tourisme (tourisme médical avec un plate-forme dénommée bookmymedtour ou encore un projet de Glamping -ou camping de luxe- eco-friendly) et autres en rapport avec le recyclage environnemental.

La presse en parle: RéalitésEntreprisesTunivisionsEspace ManagerTHD TunisieTuitec

 

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Election du nouveau bureau exécutif du Centre des Jeunes Dirigeants

Le nouveau bureau exécutif du Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) pour le mandat 2020-2022 a été élu vendredi 2 octobre 2020.

Le nouveau bureau sera présidé par Mouna Chaieb, responsable de la formation au sein du bureau sortant et Directrice Générale de Tomm Consulting.

Mouna Chaieb, nouvelle présidente du CJD.

Mouna-cjd

Le nouveau Bureau Exécutif National du CJD élu pour le mandat 2020 – 2022 se compose donc ainsi :

Mouna CHAIEB

Imed KAROUI

Mehdi FRIKHA

Mounir HBAIEB

Amin SELLAMI

Ines ACHOUR

Amine CHOUAIEB

Razi MILIANI

Wassima SABER

Farouk ZOUHIR

Khaled LAOUITI

Sonia LOUATI

Meriem BELKHIRIA

Chiraz ARFAOUI

Hatem AMMAR

Le reste des tâches sera réparti lors de la première réunion du nouveau bureau.

La presse en a parlé: Le ManagerFemmes MaghrébinesBusinessNewsTunisie Numérique Tuniscope

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Journal Le Temps du 6 octobre 2020, page 4.

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La FTAV condamne fermement la séquestration de 25 bus d’une agence de voyages privée

La Fédération tunisienne des agences de voyages et de tourisme (FTAV) condamne avec la plus grande fermeté l’action de séquestration de 25 bus appartenant à une grande agence de voyages adhérente à la FTAV qui emploie plusieurs centaines de personnes commise par les employés de la société régionale de transport de Sfax au niveau de la délégation de Skhira sur une route isolée menant au Groupe chimique tunisien.

Ce blocage a été réalisé par une cinquantaine d’individus qui ont fait usage de 45 bus de la dite société régionale pour parvenir à leur fin.

L’objectif de cet acte est d’intimider cette agence de voyages qui vient de remporter un appel d’offres public de transport par bus pour une période de 3 ans pour le compte du Groupe chimique tunisien et auquel ont participé plusieurs soumissionnaires y compris la société de transport régional de Sfax.

En conséquence, la FTAV déplore vivement ce type de comportement anarchique et exprime son inquiétude face au silence des autorités régionales et nationales et face à la séquestration des chauffeurs de l’agence de voyages qui viennent de passer 3 nuits au sein de leurs bus en dépit de la décision de justice qui a ordonné la libération du matériel roulant et des chauffeurs mais qui n’a pas été suivie d’application.

Les agitations dans la mise en œuvre des contrats entre les professionnels et l’Etat sont de nature à perturber les efforts déployés au cours de la dernière période avec le partenaire social pour la préservation des emplois et des entreprises, d’autant que les employés des agences de voyages sont eux-mêmes adhérents au sein de ce même partenaire et le représentent lors des négociations sociales.

La FTAV exprime par ailleurs sa crainte concernant les conséquences que pourrait avoir cet acte de séquestration et de voir les chauffeurs et les bus exposés aux risques.

De plus, la privation de l’agence de voyages des ressources financières légitimes provenant de ce marché public l’empêchera de pouvoir s’acquitter des salaires de ses employés, particulièrement durant la période actuelle très difficile que traverse le secteur touristique marqué par l’arrêt de ses activités.

Elle en appelle par conséquent aux autorités, et particulièrement aux ministres du Tourisme et de l’Intérieur, à mettre un terme immédiat à cette séquestration illégale et à la protection de l’agence de voyages pour la préservation de ses droits légaux obtenus après avoir été déclarée adjudicataire de l’appel d’offres sous la tutelle de l’Etat.

الجامعة التونسية لوكالات الأسفار تستنكر احتجاز 25 حافلة في صفاقس

‎تعرب الجامعة التونسية لوكالات الأسفار والسياحة عن شديد استنكارها لقيام اعوان الشركة الجهوية للنقل بصفاقس باحتجاز 25 حافلة تابعة لإحدى اكبر واعرق وكالات الاسفار التونسية المنخرطة بالجامعة والتي تشغل مئات العمال وذلك على مستوى طريق نائى غير آهل بالسكان يؤدى في اخره الى المجمع الكيميائي بمعتمدية الصخيرة من ولاية صفاقس و ذلك لاكثر من اربعة ايام محاصرين بأكثر من 45 حافلة و اكثر من 50 شخص تابعين  للشركة الجهوية  للنقل بصفاقس في محاولة لترهيب الشركة وافتكاك عقدها القانوني مع المجمع الكيميائي بصفاقس والذي تحصلت عليه بعد طلب عروض قانوني شاركت فيه عديد الشركات ومنها الشركة الجهوية للنقل بصفاقس تحت إشراف الدولة

‎ان الجامعة التونسية لوكالات الاسفار والسياحة تندد بشدة بهذه الممارسات الفوضوية وتعبر عن قلقها من صمت السلط الجهوية والوطنية وعدم قيامها باطلاق سراح الحافلات والسواق المحتجزين الذين قضوا الثلاث ليالي بحافلاتهم  بالرغم من الاذون المتحصلة عليها الوكالة من السلطات القضائية لتحرير وسائل النقل والسواق من الاحتجاز الغير قانوني والتى بقيت الى الآن دون تنفيذ.

‎كما تؤكد الجامعة ان تعطيل تنفيذ العقود بين المهنيين والدولة من شانه ان يعرقل المجهودات المبذولة في المدة الاخيرة مع الشريك الاجتماعي للمحافظة على مواطن الشغل وديمومة المؤسسات خصوصا وان عمال وكالات الاسفار منخرطون لدى الشريك الاجتماعي ويمثلهم في المفاوضات الاجتماعية.

‎و تخشى الجامعة من عواقب هذا الاحتجاز على وكالة الاسفار و امكانية تعريض سواقها و حافلاتها الى الخطر و خاصة حرمانها من مواردها المالية التى ستساعدها على خلاص عمالها خاصة في هذا الظرف الصعب الذي يعيشه القطاع السياحي من انعدام الموارد وتوقف النشاط، مع العلم وان هذه الوكالة قد قامت بتشريك عديد الوكالات في تنفيذ عقدها هذا بكراء حافلاتها لمدة ثلاث سنوات. و تطلب من السلطات و خاصة وزيري السياحة و الداخلية التدخل الفوري لانهاء هذا الاحتجاز الغير القانوني و حماية حق وكالة الاسفار في نقل حرفاءها الذي يكفله لها القانون من خلال تطبيقها لعقدها القانوني مع المجمع الكيميائي تبعا لفوزها بطلب العروض المنضوي تحت اشراف الدول

La presse en parle:

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PBR Rating publie sa note macroéconomique et ses perspectives de croissance pour la Tunisie

Dans le cadre de ses travaux d’études et d’analyse des données macroéconomiques et des performances sectorielles de l’économie tunisienne, l’agence de notation nationale PBR Rating a établi ses prévisions pour un ensemble de marqueurs économiques, notamment la croissance, le déficit budgétaire et l’endettement de l’Etat au titre de l’année 2020 pour conclure à une série de réformes structurelles qui devraient soutenir un nouveau cycle de relance économique.

La présentation officielle de ces travaux a eu lieu le mardi 29 septembre 2020, au siège de l’Association Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers (APTBEF), devant un parterre de financiers et d’économistes de premier rang, issus des institutions bancaires et financières de la place.

Il ressort des conclusions du rapport que l’économie tunisienne souffre de difficultés macroéconomiques structurelles, aggravées par l’impact de la crise sanitaire. Le rythme de croissance sur la décennie 2011-2020 n’a pas permis au pays de résoudre ses problèmes économiques et sociaux qui risquent de fragiliser sa stabilité.

Le rapport a mis également en exergue pour l’exercice 2020 deux scénarios de croissance sur la base d’un ensemble de paramètres incluant notamment les efforts de relance de l’Etat, la résilience des acteurs locaux, les hypothèses de variation des prix des matières premières et l’évolution de la demande externe.

Dans un premier scénario optimiste, le taux de croissance de l’économie tunisienne devrait se situer à -9,6%, les besoins de financement de l’Etat s’élèveraient à 12 082 millions de dinars pour engendrer un déficit budgétaire de 7% avec un taux d’endettement de 85,4% du PIB, alors que le taux de chômage s’élèverait à 17,1%.

Dans un second scénario moins optimiste, la croissance se creuserait pour se situer à -12,36%, le déficit budgétaire s’aggraverait pour atteindre 8%, avec un taux d’endettement de 88,4% du PIB et enfin un taux de chômage de 19,9%.

 Depuis 2010, le mode de production s’oriente progressivement vers les services non marchands, accompagné d’une revalorisation inédite des salaires de la fonction publique, lesquels ont totalisé 107 milliards de dinars sur la période 2011-2019. Cette tendance a mis le budget de l’Etat sous pression et la marge de manœuvre des autorités s’est affaiblie en raison de la crise économique et sociale, aggravée par la pandémie.

Pour faire face à l’augmentation de ses dépenses, l’Etat a été amené à accroître les recettes fiscales, qui ont progressé dans une moyenne d’environ 10% sur la période 2011-2019. Cela s’est effectué par une pression fiscale grandissante sur les acteurs du secteur formel. Toutefois, ces ressources n’ont pas bénéficié de manière proportionnelle aux dépenses inscrites dans le Titre II du budget.

Pour combler son déficit, l’Etat a fait un appel excessif à l’endettement, notamment extérieur. La hausse du déficit courant, conjuguée à la baisse du dinar, a accentué ces recours. Le marché interne de la dette a été également sollicité, réduisant les possibilités de financement pour le secteur privé.

Sur le plan sectoriel, la seule branche économique qui présente aujourd’hui quelques signes de résilience est l’agriculture et la pêche (avec une croissance annuelle moyenne de 10,9% sur la période 2011-2019), grâce notamment aux performances notables de l’huile d’olive et des dattes. Durant le confinement général, le secteur a fait preuve d’une certaine maîtrise, avec des chaînes de valeurs largement opérationnelles. Il demeure le seul secteur à afficher une croissance positive durant les deux premiers trimestres 2020, respectivement de 7,1% et 3,6%.

Cette résilience a manqué aux industries manufacturières (-27% au deuxième trimestre 2020), où des branches comme le textile, habillement et cuirs (-42% au deuxième trimestre) et les matériaux de construction, céramique et verre (-38,4% au deuxième trimestre) ont payé le prix de leur forte exposition à la demande des marchés extérieurs et à leur faible valeur ajoutée sur la chaine mondiale. Il en est de même pour les industries non manufacturières (-20,8% au deuxième trimestre) en raison de la baisse conséquente des activités extractives, sous le poids des contestations sociales continues dans les zones de production.

Les services marchands traversent également une période difficile, notamment le tourisme (-77,5% au deuxième trimestre) et le transport (-51,4% au deuxième trimestre). Ce dernier, assuré essentiellement par des entreprises publiques en difficulté, coûte au pays des points précieux de croissance à travers notamment des performances logistiques quasi rédhibitoires pour le développement du commerce extérieur et des IDE.

Le pays a besoin de réformes structurelles urgentes, à commencer en particulier par la restructuration et l’assainissement des entreprises publiques et la modernisation de l’administration. L’intégration de l’économie informelle et la mise à niveau du système fiscal sont également des urgences pour améliorer la situation des finances publiques et réduire la pression fiscale sur les agents économiques. L’Etat tunisien doit veiller à ce que la production pétrolière et minière reprenne et investir dans les énergies renouvelables pour alléger le déficit commercial. Des incitations devraient être consacrées pour améliorer davantage la contribution du secteur agricole à la croissance de l’économie. Des investissements massifs en technologies s’imposent pour remédier à la baisse de performance à l’export des industries manufacturières à faible valeur ajoutée. Pour ce faire, il convient de réduire l’effet d’exclusion du financement du secteur privé auprès des banques, dont les liquidités sont absorbées par les besoins de financement de l’Etat. Quant à l’inflation, son origine n’est pas uniquement monétaire pour induire à un durcissement des taux d’intérêt du marché, mais sa maîtrise doit passer également par un contrôle étroit des circuits de distribution.

Il demeure entendu que la mise en place de ces réformes réclame un climat politique et social stable et serein.

 A PROPOS DE PBR RATING :

Agence de notation financière nationale, parrainée notamment par l’Association Professionnelle Tunisienne des Banques et des Etablissements Financiers et l’Ordre des Experts Comptables de Tunisie, PBR Rating a été inaugurée en mai 2018m par le ministre des Finances. L’agence a pour vocation le déploiement d’un ensemble de solutions de notations financières ainsi que la publication de recherches et d’analyses économiques, contribuant ainsi à l’efficience de l’information financière pour l’ensemble des intervenants économiques sur le marché tunisien.

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